La grand-mère de Mai mène une vie solide et calme dans la montagne au milieu des chênes et des noisetiers. Mai, 13 ans, ne veut plus retourner en cours, oppressée par l'angoisse et la souffrance intérieure, a été envoyée auprès d'elle pour se reposer. Cette grand-mère un peu sorcière va lui transmettre les secrets des plantes qui guérissent et les gestes bien ordonnés qui permettent de conjurer les émotions qui nous étreignent.
Ce n'est pas le paradis, même si la lumière y est si limpide, car la mort habite la vie et, en nous, se débattent des ombres comme la colère, le dégoût, la tristesse. Mais auprès de sa grand-mère, Mai apprendra à laisser derrière elle son mal-être pour faire confiance aux forces de la vie, et aussi aux petits miracles tout simples qui nous guident vers la lumière.
Dans ce quatrième tome de Kiki la petite sorcière, vivez les nouvelles aventures de cette héroïne iconique au travers de l'oeuvre magique d'Eiko KADONO, à l'origine du chef-d'oeuvre de l'animation japonaise de Hayao MIYAZAKI.L'été est sur le point de commencer et Kiki ne se réjouit que d'une chose : le retour de Tombo. Pourtant, elle ne tarde pas à recevoir une lettre lui annonçant qu'il ne viendrait pas, trop occupé à escalader la montagne Parapluie. Pire, la jeune sorcière se retrouve à devoir garder Yaa, le frère turbulent d'une amie. Alors qu'elle l'observe s'amuser avec d'autres enfants, il disparaît soudain sous ses yeux, transporté dans un « étrange pays », où les adultes doivent se rendre seuls...D'aventure en aventure, de rencontre en rencontre, Kiki et Tombo vont devoir tous les deux découvrir des vérités cachées et lever le voile sur le mystérieux monde à la frontière de leur coeur. Quitte à faire face à leurs peurs les plus enfouies...Eiko Kadono est une écrivaine japonaise née en 1935. Autrice de nombreux ouvrages pour la jeunesse (dont certains sont publiés en France chez l'École des Loisirs), Eiko Kadono est notamment connue pour son roman Kiki la petite sorcière, publié en 1985 au Japon. Elle a reçu le prix Hans Christian Andersen 2018 - considéré comme le prix Nobel de la littérature jeunesse, il récompense toute une carrière de création.
Kiki a désormais 16 ans. A Koriko, la sorcière coursière a développé son activité et propose des remèdes de sa fabrication contre les éternuements. Tout le monde fait appel à ses services ! La jeune fille est néanmoins en proie aux doutes : elle s'interroge sur ses sentiments vis-à-vis de Tombo. Jiji, son allié fidèle, restera-t-il toujours à ses côtés ? Et puis, sa réussite professionnelle attire l'attention.
En effet, une ombre mystérieuse rôde alentour et bientôt, une étrange rencontre va bouleverser le quotidien de Kiki... Dans ce troisième tome de Kiki la petite sorcière, vivez les nouvelles aventures de cette héroïne iconique au travers de l'oeuvre magique d'Eiko KADONO, à l'origine du chefd'oeuvre de l'animation japonaise de Hayao MIYAZAKI. Eiko Kadono a reçu le prestigieux prix d'écriture pour la jeunesse Hans Christian Andersen 2018.
Avec la délicatesse d'écriture que nous lui connaissons dans ses précédents romans, Ogawa Ito nous entraîne dans une réflexion sur l'approche de la mort. Le lion du titre désigne les pensionnaires de la « Maison du lion », un centre de soins palliatifs sur l'île aux citrons, dans la mer intérieure du Japon ; chacun des « hôtes » est invité, à la manière des lions, à sortir de la vie en convive rassasié et dans la plus grande liberté. Le goûter est celui du dimanche où l'on sert un mets parmi ceux que les hôtes souhaitent savourer une dernière fois dans leur vie. On y partage des gâteaux, ses peurs et ses petits bonheurs pour attendre sa propre mort avec sagesse et sérénité. Une lecture émouvante et un roman plein d'espoir dans lequel la plume d'Ogawa garde sa finesse et son humour.
Goshu est un violoncelliste d'orchestre maladroit et timide, toujours réprimandé par son professeur. Il va être aidé dans la préparation de son concert par la visite d'une succession d'animaux : un chat, un coucou, un tanuki et un mulot, chacun lui apportant des vertus telles que la patience, le goût de la communication et la rigueur. Le chat, provocateur, insolent et chapardeur, révèle à Goshu sa faculté d'exprimer sa colère. L'oiseau chantant son fameux « coucou » sur deux notes est un modèle pour Goshu qui tentera de multiples variations sur cet air ; le tanuki approfondit l'enseignement du rythme avec son tambour. Enfin, la souris suppliera Goshu de jouer pour la guérison de son souriceau malade, ce qui sera l'occasion pour Goshu de faire montre de sa compassion et de sa générosité. Ces animaux, dans leur comportement authentique, auront tous contribué, par l'échange, à l'apprentissage intime du jeune héros.
"Le talent n'est pas quelque chose qui nous est donné, mais est fabriqué à la suite d'efforts constants. Ces efforts peuvent être maintenus si vous en faites des habitudes. Il existe une méthodologie pour apprendre à avoir des habitudes "