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MVO Editions
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Pao, jeune femme de dix-neuf ans, quitte la maison familiale en claquant la porte. Elle fuit une mère toxique et s'installe en colocation avec Marylin, son amie d'enfance.Elle tente, tant bien que mal, de se reconstruire peu à peu jusqu'au jour où elle tombe amoureuse... d'une femme.Avec Pao, André Lalieux échappe au stéréotype de la femme idéalisée, reflet fantasmé dépourvu de véritable subjectivité féminine. Il signe là un roman fort au langage cru et populaire et nous entraîne dans le sillage de son héroïne tourmentée et terriblement attachante.
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Être gendarme dans cette petite ville nichée au coeur des Alpes n'est pas un sacerdoce. À part quelques délits mineurs, il ne s'y passe vraiment rien.
Pourtant, la découverte d'un cadavre gisant entre les poubelles du lycée va sonner le « la » d'une sinistre curée.
L'enchainement des meurtres ne va accorder aucun répit au capitaine Basile Bordelo et à la lieutenante Nasrine d'Argentière. Les gendarmes devront faire preuve d'imagination, face à des meurtriers aussi insaisissables qu'habiles à les duper, pour dénouer les imbroglios entourant ces affaires.
L'auteure évoque à l'occasion de cette énigme policière quelques tranches de vie réalistes du métier d'enseignant. -
Demain dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,Je partirai, vois-tu, je sais que tu m'attends.Partir...Mot gai? Mot sombre? Mot tendre?Gai lorsqu'il évoque les voyages, la découverte du monde, ou lorsqu'il permet de laisser derrière soi un passé trop lourd pour commencer une nouvelle vie.Sombre quand il traîne des idées de séparation, de fuite, d'exil, de déportation et même de mort.Tendre et nostalgique comme dans ces vers de Victor Hugo.Ce mot constitue le fil conducteur de ces quatre récits très différents.Juliette part à l'aventure, à la recherche de ses origines, Donna devra quitter son pays en guerre, Louise cheminera jusqu'à l'épuisement pour essayer de comprendre la disparition de ses parents.Quant aux villageois de «Canicule», j'aimerais bien les rencontrer et vivre avec eux dans un monde nouveau...dont on n'aimera pas partir.
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Septembre 1943. Les Allemands occupent Cléry, une petite bourgade auboise où vit Eglantine, la fille du médecin de village. Au départ de son père, elle tâche comme elle peut de reprendre le flambeau. Alors qu'elle rentre d'une intervention après le couvre-feu, elle se retrouve en fâcheuse position, arrêtée par des soldats de la Wehrmacht qui en veulent plus à ses jolis yeux qu'à son absence de laisser-passer. Contre toute attente, le nouveau capitaine qui vient d'arriver à Cléry parvient à la protéger et s'éprend de la jeune femme qui, sur les conseils de sa meilleure amie, Thalie, l'institutrice du village, se refuse à aimer un officier ennemi... Tiraillée entre ses sentiments amoureux et patriotiques, entre l'aide qu'elle apporte à la Résistance et celle qu'elle est contrainte de fournir aux Allemands, la jeune femme fera de son mieux pour traverser cette période troublée de l'Histoire où aucun cadeau ne lui sera fait.
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De nos jours, dans le Haut-Vallespir en pays catalan, une femme retrouvée morte a été sauvagement mutilée.
Doit-on y voir les agissements d'un maraudeur déséquilibré ou l'attaque d'un animal sauvage ?
Élisa Brantz, jeune officier de police judiciaire est dépêchée sur les lieux. Malgré un caractère bien trempé, celle-ci aura du mal à mener son enquête dans un environnement rural rude. Le mobile lui échappe tragiquement. L'enquêtrice doit se battre contre le temps qui défile car le procureur peut à tout moment la dessaisir de son enquête. Pour Élisa, il en est hors de question !
« Le cri de l'ours » est un polar qui puise sa force dans le secret des traumas humains.
« Rien n'est jamais aussi simple qu'il n'y paraît » pourrait conclure Élisa Brantz. -
Depuis le jour où nos regards se sont croisés
Sean Van Raepenbusch
- MVO Editions
- 5 Juillet 2022
- 9782492298455
Paul est professeur dans un lycée et s'évertue, non sans succès d'ailleurs, à enseigner les beautés de la littérature française à des élèves souvent très peu motivés. Il ne fraye guère avec la plupart de ses collègues dont il ne goûte pas particulièrement les plaisanteries douteuses ou les idées réactionnaires. Sentimentalement, il ne souhaite pas s'attacher et mène une vie assez débridée.Jusqu'au jour où il rencontre Carmen, une jeune femme en instance de divorce, et Fripouille, son fidèle labrador. Commence alors une très belle aventure qui conduit Paul à changer d'emploi et à s'installer « définitivement » avec Carmen au point d'en vouloir un enfant. Malheureusement, le destin ne l'entend pas ainsi et un soir, le malheur frappe à la porte... Au fil de cette narration sobre et poignante, l'auteur, dont le style élégant mais simple suscite l'émotion la plus vive, nous délivre une précieuse leçon de vie.
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Lorsque Sabine, enseignante de 54 ans, est victime d'une tentative de viol par un de ses collègues, elle force son corps à taire la colère, pour sauver les apparences. Mais son vagin n'entend pas en rester là, et entreprend de venger sa maîtresse. Une lutte burlesque s'engage entre Sabine et son organe frondeur. Ils vont devoir s'apprivoiser en attendant la kermesse de fin d'année, clou du spectacle.
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Une mère tourmente avec jubilation sa fille unique, Léa, affligée « d'une laideur irregardable » selon elle.
NE ME REGARDE PAS ! Cette injonction maternelle, devenue un mantra quotidien pendant toutes ses jeunes années, restera-t-elle un traumatisme insurmontable ou la résilience aura-t-elle sa place dans sa vie de femme ?
Qui saura lui redonner confiance après la traversée de ce désert affectif ?
Qui pourra lui ouvrir les yeux ? Elle, qui les a gardés si longtemps baissés.
L'amour d'un homme, Achille, suffira-t-il à vaincre tous ses démons ?
Dans ce roman poignant, écrit avec justesse, pudeur et délicatesse, Martine Grandjan Marquès, de son style fluide et poétique, nous invite à suivre Léa sur son chemin de vie.
Prenez la route avec elle, vous ne le regretterez pas... -
Les absents ; les larmes des groupies ont un goût de bile
Armelle Le Golvan
- MVO Editions
- 4 Mai 2023
- 9782492298677
Face A : Les absents :
On ne devrait jamais trahir une Bretonne ni se frotter aux coutumes celtiques.
Pascal Loiseau, animateur vedette d'une célèbre émission de variétés, va l'apprendre de manière douloureuse. Le temps d'un week-end, loin de Paris et de la notoriété qui le gonfle d'orgueil, le quinquagénaire va fouler le sable de Carnac.
En ce mois d'octobre, incroyablement beau, les rencontres sur le littoral se chargent d'étrangeté et de danger. La réalité s'efface vite pour laisser place à un cauchemar éveillé.
Face B : Les larmes des groupies ont un goût de bile :
Être aimée doublement peut-il pallier l'absence du père ?
Pour Betty, dix-sept ans, c'est un non catégorique. Et ce n'est pas en ce jour douloureux, où elle enterre sa mère, accompagnée de sa grand-mère, qu'elle va renoncer à la quête d'une filiation qui va l'entraîner dans l'univers déjanté d'un groupe de rock.
Les Black Seekers lui apporteront-ils LA réponse ?
Au fond du Loiret, aux rêves figés, où la canicule ne fait qu'augmenter les rancoeurs et le danger, la jeune fille va découvrir un monde qui lui est inconnu. Elle va se laisser embarquer malgré elle dans un univers dénué de morale. -
Z'avez pas vu Zhang ? Les enquêtes de Léopoldine
Francis Schull
- MVO Editions
- 22 Novembre 2023
- 9782492298882
Léopoldine, la postière d'Oberwihrheim, cité viticole alsacienne, s'étonne de trouver un beau matin une tache de sang sur l'oreiller de son voisin Dimitri, apparemment décédé d'un AVC.
Émule de miss Marple, il ne lui en faut pas plus pour imaginer qu'il a été assassiné. Elle va donc actionner ses petites cellules grises et partir en chasse, avec l'aide de ses copines et du gendarme Schmitterlin qui lui obéit au doigt et à l'oeil.
De découvertes en déconvenues, elle va slalomer dans une enquête un peu loufoque et au milieu de protagonistes hauts en couleur, au rythme de la vie d'une cité elle-même agitée par de nombreux soubresauts clochemerlesques.
Après s'être égarée dans des chemins de traverse, elle va finalement démasquer le (ou la, ou les ?) coupable qui n'est évidemment pas celui auquel on s'attendait. Champagne ! (ou plutôt, non : crémant d'Alsace). -
Juillet 1914. La Belle Époque s'achève dans le chaos de la Grande Guerre.
C'est dans ce contexte douloureux que Mina épouse Jean, l'un de ses amis d'enfance. La jeune femme de dix-sept ans est belle, moderne et attentive aux autres. Tandis que son père et son époux sont mobilisés, elle s'échine à prendre soin des personnes qui lui sont chères : son fils Louis, né quelques mois après son mariage ; sa mère Marthe, aussi douée qu'exigeante ; Germaine, une ancienne institutrice avec qui elle partage la passion des lettres et de l'histoire ; Baptiste, un artisan qui tient une échoppe de vélos et de machines à coudre ; et enfin ses amis d'enfance, Solange et Étienne.
Amours, haines, trahisons, jalousies, amitiés et secrets familiaux vont percuter, avec une violence inouïe, l'existence de Mina et de ses proches. Sur fond de vies et de morts.
Alternant les descriptions sociétales, les scènes bucoliques, les séquences romanesques, les intrigues policières et les introspections psychologiques, ponctué de nombreux rebondissements, ce roman porte haut l'amour entre une mère et son enfant. Il témoigne que l'espoir et le bonheur ne résident pas toujours là où on les attend. -
Les virus meurtriers se sont succédé, les confinements ont laissé place à de nouveaux confinements. Sous caution de santé publique, nous avons accepté de renoncer à une partie de nos libertés et nous sommes habitués à vivre cloîtrés plus que de raison. Et parmi nous...
Cléa est accusée d'un meurtre dont elle est innocente. En l'absence d'un avocat acquis à sa cause, elle doit se défendre seule face à un procureur retord. Inès se réveille dans un hôpital ayant tout l'air d'une prison et est maintenue dans l'ignorance de sa situation.
Océane a été l'objet d'un nouveau genre de peine : une condamnation à l'amnésie. Elle vit au jour le jour, sans famille ni ami, jusqu'à ce que de mystérieux colis viennent troubler sa routine et réveiller en elle des sensations oubliées.
Ceux qui les séparent met en scène des femmes aux prises avec une justice totalitaire mais aussi avec leur passé et leurs propres démons. Trouveront-elles la force de lutter pour recouvrer leur liberté ? -
Après un divorce calamiteux, Charles, sculpteur reconnu,
se retrouve à la soixantaine sans atelier ni toit. Fauché, il trouve
refuge chez un ami. Un hommage national à Gustave Courbet
dans deux ans pourrait lui offrir une chance de rebondir. Grâce
à un héritage inespéré, il achète une maison, envisage d'y
construire un grand atelier. Cependant, un redressement fiscal
vient stopper son plan. Comment payer sa dette et poursuivre?
Il pourrait louer son étage. Misanthrope, il redoute les visiteurs,
le trouble, le vacarme qui bousculeraient son activité. Cela dit, il
n'a guère le choix. Et puis, il a besoin de beaux modèles pour
son projet.
Lors d'une rencontre avec des artistes locaux, Jeanne, une
quadra débutante en sculpture, propose de l'aider, de lui
envoyer des étudiantes. Lui qui appréhende la compagnie de
femmes, voilà qu'il se retrouve avec trois d'entre elles!
L'oeuvre de Charles, en hommage à Courbet, verra-t-elle le
jour? La suite du thriller est plus que mouvementée. À vous de
la découvrir sous la conduite de Joanna... Mais qui est
Joanna? -
À l'issue de la troisième guerre mondiale, au milieu du siècle prochain, une bande de vieillards fringants entre en résistance contre la malbouffe instaurée par l'ordre sanitaire, et cela malgré les menaces de répression.
Un silence respectueux accompagna l'andouille, le fromage et le saucisson lorsqu'ils passèrent de nez en nez. Les yeux se fermaient à chaque inspiration. Ils humaient les vapeurs tels des tubards en sanatorium de montagne se remplissant les poumons de l'air pur des cimes.
- Ton fromage sent délicieusement la petite fille qui se néglige, dit Octave.
- L'andouille dégage une odeur délicate de merde et de tripes vivantes, un relent de pet de cassoulet, comme celle d'un doigt qu'on a promené dans des sillons mystérieux, rajouta Bernard.
- Y compris dans ceux qui ne nous appartiendraient pas, proposa Mireille, la seule femme autour de la tablée.
Tous les autres hochèrent profondément la tête en signe évident d'acquiescement.
Les vieux contrebandiers, une oeuvre truculente, fantasque, succulente ! -
Deux monsieurs étaient venus chercher maman pour l'emmener à l'hôpital et papa était parti je sais pas
où. Alors, avec Tonton Pierre et Charas et ma Lisa, on a fait un grand voyage loin de chez moi et tout ça,
ça été très dur. Je vais raconter comment ça s'est passé. » -
La fille qui murmurait à l'oreille des réseaux
Thomas Degré
- MVO Editions
- 3 Février 2025
- 9782494929692
Serge Lemoine, un bobo parisien à la retraite, marié, écrivain vieillissant en
manque d'inspiration, reçoit des poèmes d'une certaine Lara via Messenger, la
messagerie privée de Facebook. Aucun échange de photos ni de vidéos entre eux,
seulement des mots teintés de poésie. Mais bientôt, Serge sombrera dans le
doute : Lara est-elle ce qu'elle prétend être ou bien est-ce une "brouteuse", dont
le seul but est de l'arnaquer ? La vie de Serge va s'en trouver bouleversée, au
point de se faire quitter par sa femme. Tout semble pourtant rentrer dans l'ordre,
grâce à son assistant virtuel, prénommé Arthur, qui l'aide à retrouver son épouse.
Mais Serge n'est pas au bout de ses surprises...
Une fable des temps modernes qui parle de réseaux sociaux, d'intelligence
artificielle, de ChatGPT, mais aussi de poésie, d'écriture, d'amour, de vieillesse. -
Sébastien Perrier a tout pour être heureux : romancier ultime, marié à la somptueuse Virginia, père de deux enfants, il vient de faire rénover la Villa Mors, aux portes de Deauville. Même au fond de son jardin, il n'a jamais cessé d'écrire. On ne devient pas numéro un par hasard.
Cette demeure emblématique et mystérieuse contribue au mythe qu'il entretient autour de son personnage d'auteur. De polar en polar, il est devenu la référence majeure du genre : une star ! Sa belle plume teintée de noirceur et de sang fait de chacun de ses livres un best-seller. Son dernier opus : « À la vie : la mort » est une bombe !
Le secret de sa réussite ? Il répète à qui veut l'entendre qu'il doit tout à Virginia. Car sa recette est un savant mélange d'expériences vécues, certes, mais aussi du passé compliqué de sa femme qu'il distille avec son enfance anonyme de parisien solitaire, ses nombreux excès, l'art et les modèles photo, les petits arrangements dans les hautes sphères, les clubs privés et leurs fréquentations...
Ce couple modèle a tout pour être heureux. Et pourtant, le savoureux élixir récolté dans les vertiges de l'écriture va tourner au vinaigre quand cette villa chargée d'histoires sanglantes va redevenir le théâtre d'un nouvel enfer.
Que s'est-il passé ? Pourquoi un tel massacre, d'autant que la piste de Virginia est retrouvée à Nantes ? -
L'auteur nous invite à entrer dans l'intimité d'un « homme de la rue » : Gaby n'est pas si vieux. Il a quarante-sept ans. Il donne l'impression d'être un homme fatigué. Il est vouté comme un
vieillard. Son visage est rond. Ses yeux tendent vers une couleur noisette. Il fronce souvent les sourcils ce qui lui confère un air peu aimable. Il ressemble à ces rochers gris, presque noirâtres, qui résistent aux vagues de l'océan.
Gaby propose au lecteur une réflexion, un regard sur sa propre vie : Mais que nous reste-t-il à nous les clochards si nous ne pouvons pas vivre dans un monde imaginaire ? Ce serait comme un prisonnier dont la peine deviendrait incompressible, sans aucun espoir !
Un conte humaniste poétique et plein de délicatesse. -
Le récit nous entraîne par étapes dans un voyage qui part des plaines industrielles du Nord-Pas-de-Calais et finit aux collines ensoleillées de Provence.
Il narre l'histoire émouvante de deux femmes originaires d'un milieu ouvrier, Véréna la fille et sa mère Elena. C'est aussi une page d'histoire des travailleurs de cette fin du siècle dernier et des gens ordinaires, modestes et profondément humains peuplant ce plat pays, celui des mines, des usines et des quartiers populaires de Roubaix et Wattrelos, ville frontalière avec la Belgique.
Au fil des pages se dévoilera le cheminement d'une femme qui se découvrira petit à petit et qui en sortira grandie.
Enfin, en racontant la Vie avec ses rêves, ses joies, ses combats mais aussi ses douleurs, le roman conduira le lecteur dans les émotions des souvenirs d'enfance et d'adolescence et
l'emmène dans un long parcours depuis les années quarante j'usqu'à la fin du XXe siècle. Véréna obtiendra-t-elle les réponses à ses questions ? -
Guillaume Robin est en apparence un écrivain vieillissant ancré dans ses habitudes. Mais que cache ce personnage énigmatique ? Qu'est devenue cette Mandoline qui hante sa mémoire ? Et en quoi est-il lié à cet inconnu retrouvé mort au bord de la départementale ?Les personnalités des différents protagonistes, leurs liens et leurs destinées se révèlent au fil d'une enquête mêlant mystère, amour et humour.
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« Elle s'est élevée grâce au travail opiniâtre de ses habitants » : devise de la ville d'Oyonnax, dans l'Ain, qui offre son cadre verdoyant et boisé à l'histoire de deux familles que tout oppose.
Dès 1942, de nombreux jeunes hommes d'Oyonnax rejoignent le maquis. Parmi eux se trouve Jean Leroux, fils de l'un des plus importants industriels de la cité, mais aussi Raymond, simple ouvrier du peigne. En ces heures difficiles, une véritable amitié les lie étroitement. Cependant la paix revenue, chacun réintègre son milieu : la succession de l'entreprise familiale pour l'un, tandis que le peigneux rejoint la corporation des piéçards.
Bien des années plus tard, lors d'une rencontre fortuite et mouvementée, Virginie Leroux fait la connaissance de Lionel, le fils de Raymond. Une idylle se noue entre les jeunes gens brusquement interrompue par un drame familial qui va bouleverser la vie de la jeune fille.
Les chassés-croisés à rebondissements de ces deux familles oyonnaxiennes vont dévoiler toute une palette de sentiments humains, dans un monde industriel en constante évolution. -
Maguy quitte son mari et demande l'aide d'Alban, un ami qu'elle ne voyait plus et pour lequel ses
sentiments vont grandir. Elle va alors squatter une maison et rencontrer la voisine. Malgré les
mensonges, celle-ci va l'aider, cependant que son mari la cherche. que les propriétaires font irruption et que la femme
d'Alban la tourmente. Les difficultés vont-elles avoir raison de sa détermination à se reconstruire ? -
Nouv.
Nous, humains de toutes conditions, dans notre grande majorité, aimons avoir peur
dès notre plus bas âge, pour ce faire non créons parfois nos propres frayeurs.
Ainsi, c'est souvent le cas dans nos fictions ou la réalité : L'angoisse est un de nos
moteurs de la vie.
Moteur qui se veut secret, mais aussi complémentarité de nos autres sens ou états
d'âmes, afin qu'il en devienne un besoin naturel.
Dans la lignée des autres passions qui font notre complexité d'être vivant ce défaut
nous a fait côtoyer, depuis fort longtemps, monstres et horreurs qui font partie de
notre culture.
Au 21eme siècle ne serait-il pas concevable que la monstruosité soit au service
d'une cause ? Ou d'une utilité ? Ou encore d'une doctrine ?
Elle l'a été parfois, sous d'autres formes, par le passé, dans les périodes sombres
de notre histoire, mais à la différence de ne pas être empreinte d'une réalité toute
relative.
Ici, par ce roman, je tenterai de vous démontrer que l'imagination de nos anciens,
pourrait rendre service à de vastes complots dans un futur parallèle.
Bonne lecture et rêvez ! -
Nouv.
L'enfant, ballotté entre les violences familiales, les familles d'accueil, l'école, les
institutions contre lesquelles il se dresse, est irrémédiablement jeté à la rue et
finalement au centre pénitentiaire. Schéma classique. C'est plié, fini ?
Non.
Un sursaut, une volonté farouche, un amour impossible et un enfant plus tard le
conduiront à la liberté et la reconnaissance des hommes avec, en poche, un diplôme
de l'Ecole Supérieure Nationale des Beaux Arts.
Acteur et témoin de ce début de vie ou l'amour détruit autant qu'il construit et façonne
les êtres, le bâtard se raconte dans cette auto-fiction. C'est le témoignage hallucinant,
du combat entre un enfant né au mauvais endroit au mauvais moment, devenu un
jeune homme têtu, obstiné à vouloir réussir sa vie, contre les idées établies et la
pensée dominante de cette époque.
Un happy end est-il envisageable ?
