Ce livre est le seul en français racontant l'histoire de la 36th Infantry Division de l'armée des États-Unis, de sa création à nos jours. Cette grande unité, aussi surnommée «Texas Division », prend part à la première guerre mondiale. Entre les deux guerres, elle redevient formation de réserve au sein de la garde nationale du Texas. Suite à l'attaque japonaise sur Pearl Harbor, la division réactivée combattra tout au long de la Seconde Guerre mondiale : en Afrique du Nord en 1942, puis en Sicile et en Italie où elle s'illustre. Débarquée le 15août 1944 en Provence, puis rattachée à la Task Force Butler, elle jouera un rôle crucial pour contrarier la retraite de la 19e armée allemande dans la vallée du Rhône. La 36th prend une part active à la campagne des Vosges-Alsace lors de l'hiver 1944-1945, puis combat jusqu'à la capitulation de l'Allemagne nazie. Dans les derniers jours du con??it, la 36th revendiquera les captures d'Hermann Göring et du maréchal von Rundstedt...
L'histoire de cette division est en lien avec les ouvrages déjà parus chez Sophia Histoire & Collections, les historiques de la 1re division américaine et de la 45e, Août 1944 La bataille de Montélimar, et La 11e Panzer Division, qu'elle a??ronte à plusieurs reprises, notamment en France en août et septembre 1944.
L'escadron de chasse 3/30 « Lorraine » est une unité de l'armée de l'Air et de l'Espace qui a connu un parcours des plus variés depuis sa création en 1941. A traves deux ouvrages, Histoire & Collections vous propose de découvrir l'histoire de cette unité mythique avec plusieurs centaines de photographies exceptionnelles, de très nombreux témoignages, des profils couleurs, des cartes et des encarts techniques sur les appareils utilisés.
Dans cet ouvrage (le Tome 1) seront relatés la formation et les combats du « Lorraine » lors de la Seconde Guerre Mondiale.
Formé en tant que groupe de bombardement léger FAFL, le « Lorraine » prend part à la campagne de Libye sur Blenheim puis à la libération de l'Europe avec ses Boston. Quelques semaines avant la fin des hostilités, il est transformé sur appareil Mitchell pour effectuer ses dernières missions de combat.
L'organisation de la logistique sera une arme redoutable lors du Second Conflit mondial, que ce soit dans les airs, sur mer ou sur terre. L'US Army va réaliser un tour de force en quelques dizaines de mois en créant un parc routier d'innombrables véhicules et de remorques. Dans cet immense charroi, les puissants tracteurs de semi-remorques vont être d'un apport crucial, près de 70 000 matériels sont commandés pour assurer le ravitaillement des armées en campagne. C'est la grande diversité de ces engins cruciaux et toutes leurs spécificités que l'auteur partage pour la première fois en français, grâce à de très nombreuses photos d'époque et des documents techniques.
Cet ouvrage rassemble, avec une présentation attractive, les détails matériels environnant l'autre libérateur de l'Europe : le soldat canadien, le « Canuck », comme on l'appelle familièrement.
L'ambition de cette nouvelle édition, revue en profondeur et augmentée, est d'offrir une documentation solide sur l'organisation de l'armée canadienne, ses uniformes, ses insignes et l'ensemble de ses matériels. L'iconographie est composée de photos d'époque et de très nombreux clichés en couleurs de silhouettes et d'objets, de cartes, tableaux et illustrations des engins roulants et blindés, ainsi que de leurs marques.
La 11e Panzerdivision est créée en août 1940 à partir de la 11. Schützen-Brigade. Cette brigade commence la guerre au Danemark puis en France, où elle gagne le surnom de « Brigade Fantôme », car son chef manoeuvrait son unité avec une telle vitesse qu'elle surgissait ou frappait toujours là où l'ennemi l'attendait le moins. La nouvelle division reprend les traditions de la brigade, dont son insigne (un spectre chevauchant un char), et devient donc la « division fantôme. »
Lorsque le mot autochenille arrive dans la conversation entre passionnés d'automobiles anciennes, l'association d'idées conduit immédiatement à évoquer deux noms entrés dans la légende : Citroën et Kégresse. Si l'on ne présente pas le premier, le second n'en est pas moins célèbre pour avoir inventé, mis au point et conduit au stade de la série un système de propulseurs à chenilles souples remplaçant les roues arrière de véhicules du commerce. Ainsi naissent les premiers « tous terrains », semi-chenillés légers capables de rouler sur route aussi bien que sur sols variés. Et naturellement, le principal client de cette nouvelle famille de véhicules sera l'armée française. Pour la première fois, la totalité des véhicules Citroën- Kégresse utilisés sous le drapeau tricolore des années vingt à 1940 se trouvent passés en revue, dans le respect de la chronologie, de l'évolution technique des matériels et de leurs divers emplois militaires : voitures de liaison, voitures sanitaires, tracteurs légers d'artillerie et d'aérodrome, transport de dragons portés, tracteurs moyen de dépannage, etc.
Aucun modèle n'est oublié, chacun est traité en faisant la première place à l'illustration, suivant un déroulement solidement charpenté par la rigueur d'analyse et de synthèse coutumière de l'auteur.
A partir de 1935, plusieurs types de fortifications modernes sont définies et jusqu'en 1937, vingt-six lignes fortifiées sont érigées face à la France, la Tchécoslovaquie et la Pologne, sur 3500 km.
En plus de 224 pages et grâce à plusieurs centaines d'illustrations en couleurs en trois dimensions, la plupart des ouvrages majeurs construits par l'Allemagne sur son territoire et dans les pays conquis sont décrits dans leurs moindres détails, sans compter de nombreuses photos des fortifications qui survivent aujourd'hui.
Cette somme inégalée permet de réaliser l'ampleur colossale du programme de construction allemand et la complexité de ces forteresses de béton hérissées d'acier.
De tous les constructeurs automobiles français, la société fondée en 1898 par les frères Marcel et Louis Renault est celle qui a fourni le plus grand nombre de véhicules destinés à la défense nationale. Resté seul à la tête de la jeune entreprise après la mort tragique de son frère Marcel en mai 1903 dans la course Paris- Madrid, Louis renonce aux voitures de compétition et, presque simultanément, porte le plus vif intérêt aux véhicules industriels. En 1906, il lance son premier utilitaire et, dès 1911, engage ses camions dans les « épreuves d'endurance » organisées annuellement par l'armée française. Ce sera le début d'une très importante production de camions. L'essor du secteur, lié à la Grande Guerre, ne cessera plus et des dizaines de milliers de camions Renault sortiront de l'usine de Billancourt pour remplir d'éminents services sous les drapeaux. Tous ces modèles, à partir de 2 tonnes utiles, sont passés en revue dans cet ouvrage.
Ce livre est le résultat d'un travail de près de vingt ans. Sur la base de recherches au sein des archives officielles et d'interviews de vétérans, Richard Frognier retrace l'histoire oubliée de jeunes hommes ordinaires emportés dans la tourmente du plus grand conflit qu'a connu l'humanité. Cet ouvrage abondamment illustré retrace la vie quotidienne de ces soldats des troupes aéroportées américaines et les faits d'armes qu'ils ont accomplis au cours de la bataille des Ardennes.
Les Compagnons de la Libération des Services secrets français est consacré à l'évocation des 51 Compagnons de la Libération, BCRA gaulliste ou Travaux ruraux issus de l'armée d'Armistice, morts en opération durant la Seconde Guerre mondiale.
Chaque compagnon bénéficie d'une notice illustrée qui permet de découvrir leur parcours exceptionnel. Cet ouvrage est aussi composé de dossiers thématiques sur la formation des agents, leurs missions et l'histoire de la naissance des services spéciaux français dans l'épreuve de la résistance clandestine. Largement illustré, ce livre s'adresse autant aux spécialistes passionnés des techniques clandestines qu'au grand public curieux de découvrir ces destins exceptionnels de résistants et un volet méconnu de l'histoire des services secrets français.
Super-héros, simples G.I. ou résistants, les personnages de la bande dessinée américaine sont été de véritables témoins de la Seconde Guerre mondiale, accompagnant son évolution et anticipant même parfois sur son déroulement. Découvrez des versions totalements folles ou au contraire très réalistes des batailles de Dunkerque, de Pearl Harbor, de Stalingrad, des Ardennes. - Quels héros se sont précipités pour le Jour J des années avant la date ? - Quel sort incroyable les comics ont-ils été resérvé à Hitler ? à Lucie Aubrac ? - Quels surhommes ont cotoyé Charles de Gaulle ou le général MacArthur ? - Quel personnage des comics fut le premier à bombarder le Japon ou à affronter Vichy ?
Raconter l'histoire du Milieu et de la Pègre sous l'Occupation nécessiterait un ouvrage de plusieurs tomes ! Ce que l'auteur propose, c'est d'oser aller se promener, page après page, sur ces chemins que la morale réprouve, de se glisser à l'orée des bas-fonds et d'oser fantasmer sur l'interdit, le sulfureux, l'interlope sous l'Occupation. Il vous fera découvrir, au coin de la rue, ce folklore « pégriot » et suivre le fil d'une histoire recomposée, comme dans un livre d'images. Cet ouvrage est le deuxième volume de la collection VIVRE L'HISTOIRE, après Un Français sous l'Occupation paru en 2017.
La question des schémas de camouflage du chasseur Spitfire de la Seconde Guerre mondiale a fait l'objet de nombreuses publications. Par conséquent, l'objet de cet ouvrage est de traiter plutôt des nombreuses variations peu connues de ces camouflages, qu'elles soient provisoires, locales, ou employées par les autres forces aériennes dotées du célèbre chasseur, pendant et après le conflit.
Ces camouflages, officieux ou non, sont spécifiques à certains théâtres d'opérations et souvent improvisés pour s'adapter à la région.
La centaine de profils couleurs qui compose cet ouvrage a été réalisée avec précision à la suite de recherches approfondies et en particulier d'entretiens avec des vétérans du conflit.
Cet ouvrage vient compléter deux précédents tomes sur le Spitfire parus chez Histoire et Collections en 2014 et 2015 dans la collection Avions & Pilotes, n°19 et 21.
Dès leur entrée en guerre en 1941, les États-Unis ont déployé une énergie considérable et engagé un budget colossal pour équiper les troupes combattantes, afin de les envoyer sur le front dans les meilleures conditions. Le service de santé a profité de cette modernisation pour développer de nouveaux moyens. Cette évolution s'est attachée à rendre le soutien sanitaire plus efficient et ainsi gagner en rapidité pour sauver le maximum de vies. L'US Army Medical Department dispose de ses propres matériels et produits consommables, référencés dans le Medical Supply Catalog, dont la présentation du livre s'inspire. Parmi ces milliers d'objets, le présent ouvrage détaille les ensembles et trousses médicales, chirurgicales, dentaires, orthopédiques, ORL, des soins aux gazés, pour le combat de jungle, etc.
En cette après-midi du 16 mai 1940, un groupe d'une vingtaine de chars B appartenant à l'armée française, des engins de 32 tonnes armés chacun d'un canon de 75 et d'un canon de 47 - ce qui fait d'eux le plus puissant matériel blindé existant dans le monde en 1940 - fait son approche sur une petite ville qui va bientôt entrer dans l'Histoire : Montcornet. Depuis l'avant-veille, l'ennemi a crevé le front et ouvert une brèche gigantesque dans le dispositif allié. Lancés en enfants perdus dans la trouée, les chars de bataille français ont une mission simple : " Détruisez tout sur votre passage ", leur a simplement dit le bouillant général Giraud... Ce fait d'armes - qui précède de 24 heures l'action célèbre du colonel de Gaulle sur la même localité, avec des chars du même type -, est l'un des nombreux épisodes que ce livre retrace avec une exactitude rigoureuse et un saisissant souci du détail, appuyé sur les témoignages directs des combattants : les officiers, sous-officiers et chasseurs du 15 e bataillon de chars de combat, appartenant à la 2e division cuirassée. Le présent ouvrage ne se limite cependant pas au récit, presque heure par heure, de la campagne 1939- 1940 vécue jusqu'à son dernier souffle par une magnifique unité de première ligne. Il est aussi un recueil documentaire sans égal sur les hommes, leurs matériels, leurs uniformes et leurs insignes. En effet, ce quatrième tome de l'Encyclopédie de l'Armée française est illustré à profusion par une extraordinaire iconographie, restituant tous les détails des marques et camouflages des chars B engagés dans les actions relatées, tandis que des éclairages sont apportés sur les questions cruciales touchant d'une manière plus générale aux chars de bataille français de l'époque : armement, rayon d'action et ravitaillement en essence, moyens de transmission radio, disponibilité des matériels. Une documentation historique de première main qui enrichit l'éternel débat sur l'" étrange défaite " subie par la France en 1940.
Entre 1940 et 1945, ce sont un peu plus de 170 000 véhicules, toutes catégories confondues, que la Chevrolet Motor Division de la General Motors livre à l'armée américaine. Dans cette production, presque 160 000 exemplaires le sont en version 1,5- ton, 4x4. Elle connaîtra de très nombreuses versions : cargo, caisse fermée, pour les transmissions, camions benne du génie, tracteurs, porte-bombes pour l'aviation, etc.
Il est présent sur tous les théâtres d'opérations du second conflit mondial, où sa robustesse et la fiabilité de sa mécanique lui permettront d'accomplir sans faiblir toutes les missions qui lui seront confiées. Plus de trois-quarts de siècle après ses premiers tours de roues, il fait la fierté d'heureux collectionneurs passionnés.
Cette réédition corrigée, revue et augmentée du livre Soldats allemands de la Seconde Guerre mondiale, présente en pied et en couleurs (de nombreuses photos de détails accompagnent chaque personnage présenté), dans l'ordre chronologique les uniformes les plus représentatifs - comme les moins connus - arborés par toutes les composantes des forces armées du IIIe Reich.
A côté des forces terrestres qui constituent la majorité des silhouettes présentées, l'ouvrage offre aussi une large sélection de tenues d'aviateurs et de marins.
La gigantesque entreprise que fut la ligne maginot nécessite, pour en restituer une vision technique et historique complète, un découpage en plusieurs volumes.
Ainsi notre tome un, couronné dès sa sortie par un remarquable succès, était-il consacré, d'une part à la genèse de la ligne, d'autre part aux régiments d'infanterie de forteresse du nord-est. poursuivant dans cette optique, c'est-à-dire en traitant le matériel et les hommes avec un égal souci d'exhaustivité, ce tome deux très attendu est organisé en deux parties : les 150 premières pages constituent le catalogue extraordinairement détaillé et raisonné des formes techniques de la fortification du nord-est : ouvrages et casemates, cuirassements de tous types, cloches blindées de tir ou d'observation, tourelles à éclipse, pièces d'artillerie et armes collectives légères sous béton, artillerie des intervalles, chemins de fer ravitaillant les ouvrages et parcourant les galeries souterraines, postes de commandement, abris, usines et centrales souterraines, moyens de transmissions, etc.
Cette somme documentaire est illustrée à profusion par des centaines de plans, coupes, élévations, vues perspectives, etc. , enrichies de 260 photos d'époque ou prises plus récemment sur le terrain. un tel ensemble constitue le dossier technique le plus complet jamais publié sur ce sujet passionnant. les hommes servant tout ce matériel sont, plus particulièrement, des artilleurs et des sapeurs, réunis traditionnellement sous le nom d'" armes savantes ".
En seconde partie du présent volume sont donc passés en revue, avec le plus grand détail sur leurs uniformes et leurs insignes, les régiments d'artillerie de région fortifiée (rarf) à vocation mobile, et les régiments d'artillerie de position (rap) fournissant les canonniers sous béton et les batteries positionnées sur les intervalles. environ 150 photos d'époque des troupes et près de 70 insignes illustrent cette seconde partie.
Enfin, les sapeurs du génie de forteresse, forts de leurs nombreuses spécialités (sapeurs mineurs, électromécaniciens, sapeurs de chemins de fer, transmetteurs, etc. ) clôturent ce très riche volume qui compte 40 pages de plus que le tome un.
La 1st Infantry Division est constituée en 1917 pour aller combattre en France et elle fait face aux grandes offensives allemandes de 1918.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, elle effectue en 1942 en Afrique du Nord son premier débarquement. Selon la légende de l'époque, l'armée américaine est composée de la 1re division et de six millions de soldats de renfort ! À travers plusieurs centaines de clichés historiques, nous suivons les combats de cette unité d'élite en 1942-1945. Chargée des missions les plus difficiles, elle les accomplira sans démériter.
Cet ouvrage présente une collection unique de casques allemands camouflés et portés pendant les combats en Normandie.
Résultat d'une initiative individuelle ou produits en petite série dans les unités, ces casques camouflés sont impressionnants tant par leur dimension historique, leur originalité que l'aspect émouvant de la pièce découverte sur le champ de bataille.
De l'application élémentaire de taches de peinture réglementaire ou civile aux camouflages imaginatifs et artistiques qui prolifèrent au sein des troupes combattantes, le soldat aguerri perfectionne aussi son ouvrage en lui apportant diverses textures... Les plus de cent cinquante casques présentés illustrent les tendances générales du camouflage au cours de la bataille. La plupart ont été photographiés en extérieur, afin de respecter la réalité des coloris. Un ouvrage indispensable pour les collectionneurs, maquettistes, passionnés de l'art militaire et du camouflage.
Ce livre est une nouvelle édition du Guide Militaria n°1 paru chez Histoire & Collections et épuisé depuis plusieurs années.
Le but de cet ouvrage est de donner un sens et une connaissance générale de ce que furent ces troupes en 1939 et 1940, plus particulièrement dans le secteur clef du Rhône et de la Saône.
Ce travail replace les combats de l'Armée des Alpes à travers ses deux fronts dans la perspective de limiter la casse stratégique en juin 1940. Il a pour but de faire découvrir ce front presque inconnu, modeste mais victorieux, comme le fut celui de l'armée des Alpes de 1792.